Tous victimes, tous fautifs
Aujourd’hui on filme tout, on photographie tout pour en rire ou en pleurer. On ne sait plus reconnaître la détresse, l’intimité de l’autre. En lieu et place d’une assistance à la victime, lors d’accidents ménagers ou de la circulation, on assiste plutôt à des réalisations de films amateurs par les uns prompts à filmer la scène sans égard pour les victimes. Des médecins qui ont prêté serment pour sauver des…